
lundi 22 février 2010

vendredi 19 février 2010

L'armée nigériènne qui a pris le pouvoir ce jeudi doit avoir comme seule et unique mission l'organisation de nouvelles elections le plus rapidement possible pour remettre le pouvoir aux civils et ainsi mettre fin à la crise politique que traverse le pays depuis un an.
S'accrocher au pouvoir serait une très grave erreue de leur part. Dadis en sait quelque chose!

Un coup d'état, disent certains, freine l'avancée démocratique d'un pays. Mais quand le chef de l'état lui-même prend en otage la démocratie de son pays, le renverser est-il vraiment antidémocratique? Le président du Niger Mamadou Tanja, qui a modifié la constitution de son pays pour se maintenir au pouvoir, a été victime d'un putch ce jeudi 18 février 2010 aux alentours de 13 heures. Un coup d'état mené par des militaires qui ont voulu dire non au président et ainsi mettre fin à la crise politique qui mine le pays depuis un an.
Alors le renversement de Tanja est-il anti-démocratique? Ou n'est-il pas simplement pour restaurer la démocratie?
Alors le renversement de Tanja est-il anti-démocratique? Ou n'est-il pas simplement pour restaurer la démocratie?
Inscription à :
Articles (Atom)